Gaston et les langues de vipères...

Regardez-moi donc les voisins  qui se tordent le cou

pour épier ce qui se passe chez Gaston.

Vous allez sortir vos langues de ViPèReS

et imaginer ce que disent ces mauvaises langues à son propos.

Comme je vais être un peu distante pendant les semaines à venir, 

vous aurez jusqu'au 5 février

pour imaginer les propos de comptoir du café des oignons :

Les participations en dessins sont les bienvenues aussi.

Le 5 février au soir, je tirerai au sort le nom du ou de la gagnante !

Vous en avez du temps pour affuter vos langues de vipères...

Ah ! Un régal les illustrations de Loren

Le mystérieux carnet de Gaston chez Belcastel

In extremis, la rigolote et jolie participation en illustration d'Alexandra Gabrielli Kuhn.

Je rajoute donc son nom sur un petit papier que je mets dans la corbeille !

Et son illustration : Bravo Alexandra !!!

Comments

[Edwige]

Coucou Catibou !



Félicitations pour ce très bel ouvrage. Le thème est original, traité avec poésie. Les illustrations sont sublimes. Encore un grand BRAVO à vous deux !

[stéphanie]

Ils sont entrain de se dire que c'est pas normal qu'il y a autant de joie, de rires dans cette maison qui était si triste auparavant...que de mystère !!

[catibou]

Nicole, tu as fait de ton mieux et tes souvenirs... m'ont rappelé ce moment agréable...



Cloé, Chapeau !!!



Vive, tu introduis une dimension de plus, le parler "village". Excellent !



Vava : ttt, ttt, ttt, je sais ce que je sais...



Sange, On est complètement dans l'atmosphère du café des oignons. Très bon dialogue et excellent pouvoir d'évocation



Mira, vérifie tes sources, la date limite est le 5, mais chut, ne le dis à personne. Ah le téléphone villageois comme journal d'info, rien de mieux, enfin à une date près... Bravo !

[Mira]

C'est la femme du boucher ( celle qui...enfin vous voyez, quoi, j'dis ça , j'dis rien) qui l'a dit à la coiffeuse...vu que la soeur de beau-frère du garagiste l'a confirmé ( car elle s'est fait faire une couleur...d'ailleurs ça lui va pas terrible ce rose....bref), et que la tante de la nounou de mon fils ( très gentille cette dame, un peu négligée mais sympa. Pis la pauv' avec la vie qu'elle a eu..enfin...)l'a lu de ses yeux et qu'en plus je l'ai rencontrée par hasard à Inter...je sais que c'est vrai!! Ce concours s'arrêterai le 03 Février. Mais il faut encore que j'aille vérifier mes sources, allez hop Zou! à la boulangerie!



( bravo pour votre livre !!!)

[Sange]

Au café des oignons, certains tiennent conciliabule...

Jojo: N'est ce pas notre Gaston qui crayonne encore dans son fameux carnet?

Luce: Ben si mon Jojo, figure toi que cela fait déjà deux bonnes heures qu'il s'est isolé pour écrire on ne sait quoi. Il crayonne, il griffonne, il écrit certes, mais il ne cause pas beaucoup.

Jojo: C'est pas étonnant tout ça! Il parait qu'il griffonne comme ça depuis qu'il sait tenir un crayon. Mais pas moyen de lui faire dire ce qu'il y note. Notre Gaston c'est un cachottier.

Sabine: Encore à jacasser tous les deux?

Luce: On s'interroge sur le Gaston. Il est encore entrain d'écrire dans son coin, et toujours dans son carnet.

Sabine: Oh! Laissez! Il fait semblant pour se rendre intéressant. Il ne sait même pas écrire!

Luce: Non???? Quel canaille ce Gaston et dire que je le croyais écrivain ou chercheur de trésor.

Jojo: Je savais bien qu'il n'était pas très net. Passer son temps à écrire comme ça sans jamais laisser personne y jeter un œil, ça sent le mauvais coup, c'est moi qui vous le dit!

Sabine: En plus, c'est le carnet de son père, même pas le sien! Et puis il parait même qu'il ne met jamais deux chaussettes de la même couleur.

Luce et Jojo: NOOOOON!!!!!!!

Sabine: Si!!!!

Luce: Je comprends mieux pourquoi il a cette démarche là, je l'ai toujours trouvé un peu bizarre sans savoir pourquoi.

Jojo: A ça façon qu'il avait de s'asseoir à l'écart pour écrire, je savais qu'il avait des choses à cacher.

Sabine, Luce et Jojo en cœur: Mmmmh!

Luce: Attention il lève les yeux.

Sabine: Faisons lui un sourire pour qu'il ne se doute de rien.

Les trois commères sourient à Gaston, qui tout à ses pensées ne les voit pas vraiment.